Le photovoltaique, une alternative à ne pas négliger ?
Nous savons tous que l’homme doit mettre en œuvre de l’énergie pour accomplir un travail donné. Mais il faudra en disposer avant de prétendre en exploiter.
Et nous savons alors ce que représentent les aliments à ce sujet. A l’instar de l’homme, son outil moderne de travail nécessite également l’apport de l’énergie pour son fonctionnement et principalement de l’énergie électrique. Les ressources énergétiques s’avèrent alors incontournables pour une quelconque production. Devant s’assumer, l’homme a su, à travers des générations, développer plusieurs types de sources énergétiques utiles à la consommation dans les milieux professionnels tout comme dans la vie sociale. Mais aujourd’hui que le réchauffement climatique s’est manifesté, l’homme est devenu plus regardant sur les différentes formes énergétiques. Celles qui causent la dégradation du climat sont pointées du doigt. Désormais elles sont catégorisées par rapport au climat et celles qui sont labélisées propres, renouvelables, ce qui veut dire leurs exploitation n’entrainent pas l’émission des gaz à effet de serre, peuvent continuer à être exploitées. Une diminution par conséquent des ressources énergétiques. Par ailleurs il est connu que ces ressources énergétiques, sous certaines conditions peuvent être transposées en d’autres, notamment une transformation en énergie électrique indispensable pour le fonctionnement de l’outil de travail. Mais voilà, la République Démocratique du Congo qui pourtant a des raisons de se frotter les mains en matière d’énergie propre avec son barrage hydroélectrique d’Inga, peine depuis un certains temps pour assurer une fourniture de l’énergie électrique permanente et de qualité. Pour le moins, la fourniture de l’énergie électrique laisse à désirer et handicape sérieusement le rendement des professionnels, en particulier ceux des milieux éducatifs.